En visite à Bruxelles, jeudi 12 février, le chef du gouvernement français, François Fillon a déclaré que le plan français d’aide aux constructeurs automobiles était "compatible avec les règles de la concurrence" du traité.
Ce plan vise notamment l’octroi de prêts à hauteur de 6,5 milliards d’euros aux constructeurs automobiles français. En contrepartie des liquidités accordées, Renault et PSA Peugeot Citroën s’engagent au maintien de leurs emplois.
Selon un expert en concurrence communautaire, les prêts délivrés aux constructeurs automobiles français…