« La crise financière a montré qu’il vaut mieux traverser une tempête financière sur un grand navire robuste tenant bien la mer plutôt que sur un frêle esquif. » Et le navire robuste, pour
Jean-Claude Trichet
, c’est l’euro.
Mais la monnaie unique ne permet pas à l’Europe d’être épargnée par la crise : «la zone euro devra probablement faire face à une période prolongée de forte atonie de l’activité économique», estime-t-il. Cependant, Jean-Claude Trichet affirme être «convaincu qu’à terme,…
Fondation Robert Schuman : Entretien avec Jean-Claude Trichet
18 mars 2009 à 18h21