Au deuxième jour du sommet de Bruxelles, vendredi 29 octobre, les dirigeants européens ont officiellement entériné la possibilité de modifier le traité de Lisbonne .
Les conférences de presse ont été l’occasion, pour les chefs d’État et de gouvernement, de revenir sur l’un des points les plus sensibles de la réunion : la suspenstion des droits de vote frappant les pays ne respectant pas le pacte de stabilité.
"Herman Van Rompuy va examiner cette question, qui est particulièrement importante", a…