Une décision de la Commission européenne avait approuvé les conditions de privatisation de la Société nationale Corse-Méditerranée (SNCM). Elle a été invalidée par le Tribunal de l’UE, mardi 11 septembre. Une page judiciaire pourrait s’ouvrir.
En 2002, la compagnie maritime recevait un apport de 76 millions d’euros de la part de la Compagnie générale maritime et financière (CGMF), structure entièrement détenue par l’État français. Celle-ci possédait alors 80% du capital de la SNCM. Quatre ans plus tard, à l’occasion de…