En dépit de la mauvaise croissance de la zone euro confirmée par l’OCDE et Eurostat, la Banque centrale européenne n’a pas baissé son taux directeur (4,25%), toujours plus de deux fois supérieur à celui des États-Unis (2%).De son côté, la banque d’Angleterre a également opté pour le statu quo, en maintenant son taux à 5%.
Un choix que la BCE justifie par un taux d’inflation encore élevé, 3,8%, c’est-à-dire loin des objectifs de 2% en 2010.
Cette décision intervient quatre…