Le débat parlementaire sur les attaques d’Anders Breivik qui ont fait 77 morts l’été dernier a tourné au vinaigre, mercredi après-midi à Strasbourg.
Le patron des députés verts européens Daniel Cohn-Bendit a jugé que les propos tenus à l’époque par Jean-Marie Le Pen étaient "racistes" et "abjects". Selon lui, un tel discours est une "honte" et "inacceptable" pour une assemblée "comme la nôtre".
Naïveté
Peu après la tuerie d’Utoya et l’attentat à la bombe d’Oslo, le leader frontiste avait jugé…