« Nous n’excluons aucune option », répète la Commission européenne depuis l’annonce de droits de douane dits « réciproques » par la présidence Trump, le 2 avril. Aucune solution n’est écartée, pas même l’instrument anticoercition, récemment décrit comme « l’option nucléaire » par le ministre du Commerce irlandais. Ursula von der Leyen a confirmé , dans une interview accordée au Financial Times le 10 avril, que l’instrument fait bien partie de la panoplie de la Commission, dans le cas où…
L’instrument anticoercition : arme de dissuasion ou « bazooka » commercial ?
16 avril 2025 à 8h00
