Arrivé il y a six mois à la tête de l’Eurogroupe, le Néerlandais ne s’embarrasse pas des formules prudentes habituellement en vogue dans les institutions européennes. Dans une interview donnée à plusieurs journaux européens, dont le Figaro , Jeroen Dijsselbloem énumère ses lignes rouges, dont la plupart sont en opposition frontale avec les orientations défendues par Paris.
La révélation des nouveaux bilans bancaires au printemps prochain donnera la mesure des besoins de recapitalisation des établissements de la zone euro. « Nous…