Son mandat se terminant avec la législature, le rapport que rend le déontologue de l'Assemblée, Ferdinand Mélin-Soucramanien, mercredi 30 novembre, est une sorte de testament. Sa fonction est un peu mieux assurée et son champ d'action s'est élargi. Mais les moyens, tant humains que juridiques, ne sont toujours pas au rendez-vous.
Des conseils qui commencent à être suivis
La plus importante avancée du mandat est l'extension du champ d'action du déontologue. Il peut désormais prodiguer ses conseils aux collaborateurs et…