Pour rester première pourvoyeuse d'aide en développement malgré la crise, l'Union européenne se rapproche des banques de développement (BEI, BERD, AFD, KfW) et d'autres agences bilatérales.
Ensemble, elles financent de grands projets d'infrastructures, notamment d'énergie ou de transports. Une manière pour l'UE d'augmenter l'impact de son aide au développement sans accroître ses dépenses.
Effet de levier
Les Européens paient l'assistance technique (études d'impact, aide institutionnelle) et subventionnent les projets afin de faciliter l'octroi de prêts par les institutions financières.