Entre théorie et pratique, les groupes d’experts de la Commission peinent à évoluer

L’exécutif européen essaie de rendre ces structures plus transparentes, promulgue de nouvelles règles, mais dans les faits, les industriels sont toujours dominants. Exemple avec un dossier d’avenir et aux intérêts conséquents : les voitures connectées.
07 juin 2017 à 17h00
Pouvoirs, Numérique, Transports, Territoires

À lire également

Des autoroutes hertziennes pour les voitures du futur : 2018 année décisive

Ce devrait être l’un des grands chantiers numériques du gouvernement : négocier le spectre nécessaire pour la 5G et les futures voitures connectées au niveau international et arbitrer entre les intérêts industriels. Un arbitrage d’autant plus délicat que les responsabilités des différents ministres dans ce dossier ont toujours été mal identifiées.

Les groupes d’experts de la Commission européenne : l’équilibre impossible ?

Ces structures sont régulièrement pointées du doigt pour le déséquilibre de leur composition et leur opacité. En mai 2016, la Commission a révisé leurs règles de fonctionnement, prônant plus de transparence. Premiers bilans.

Contexte, l’info politique dont les professionnels ont besoin.

Essayez Contexte gratuitement

Essayez Contexte pour suivre les politiques publiques en France et en Europe

Recevez tous les matins dans votre boîte e-mail une sélection d’informations et d’analyses de notre rédaction

Accédez à des scoops et des ressources pour décrypter les enjeux et les rapports de force politiques

Suivez la fabrication des textes de loi en temps réel tout au long de la navette parlementaire