Officiellement, les dirigeants européens continuent de choyer la relation avec les États-Unis. « Bien sûr », la première puissance mondiale demeure « une alliée », a redit la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, lors d’une conférence de presse dominicale, le 9 mars. « Les intérêts communs ont toujours excédé les divergences », a estimé l’Allemande, de fibre atlantiste, tout en se gardant de parler de Donald Trump en particulier.
Mais, c’est un fait, les relations transatlantiques…