"Si l’on se met à ponctionner les contribuables encore plus, alors on fait effondrer le reste de croissance", a indiqué Eric Woerth, lundi 21 avril. Ce refus d’augmenter les charges fiscales est fondé sur une prévision de croissance optimiste. Le ministre l’admet lui-même, la fourchette comprise entre « 1,7% et 2% de croissance est marquée par un « certain volontarisme ».
Les chiffres alarmants du FMI
Ces chiffres sont pourtant en contradiction avec les statistiques alarmistes présentées par le Fonds…