«Du point de vue du scientifique, si l’on veut atteindre une limitation de la hausse des températures à deux degrés, on est très loin du compte.» Au cours d’une conférence à l’Ecole normale supérieure, mardi 9 mars, le vice-président du Giec, Jean Jouzel, s’est montré sceptique sur le réalisme des objectifs internationaux.
Il a estimé que l’accord de Copenhague était contradictoire dans les termes avec les objectifs que se fixe la communauté internationale. «Pour arriver à deux degrés, il faudrait…