Élections britanniques : le front du Brexit est calme, pour le moment

L’appartenance ou non du pays à l’Union européenne est cruciale pour l’avenir du Royaume-Uni, mais ne constitue en rien le coeur de la campagne. À Bruxelles, les institutions attendent toujours du concret sur ce que veut vraiment Londres.
04 mai 2015 à 7h00
Pouvoirs
Buckingham Palace à Londres, la relève de la garde — Flickr / Gabriel Villena

À lire également

Brexit : le tour de passe-passe attendu pour février 2016

La discussion entre dirigeants a duré deux heures et a été "franche". Ils se sont donnés deux mois pour dégager un accord. L’UE réfléchit déjà à l’astuce juridique qui lui permettra de ménager la chèvre et le chou. Edimbourg, cela vous dit quelque chose ?

Référendum sur l'UE au Royaume-Uni : premier calendrier de travail

Un groupe de travail a été chargé de rédiger, d'ici décembre, un rapport détaillé sur les demandes britanniques et leurs implications sur les traités.

Malgré les pressions britanniques, un nouveau traité n’est pas pour demain

Des contorsions pourraient être imaginées pour satisfaire le Royaume-Uni sans rouvrir les traités à court terme. Une option qui mérite au préalable de clarifier les dérogations et réformes revendiquées par le gouvernement britannique.

Rester ou sortir de l'UE, les Britanniques devront choisir

Le Premier ministre britannique mène son combat au pas de charge. Le projet de loi sur le référendum est présenté au Parlement le 28 mai.

Le risque d'effet domino du référendum britannique en Europe

Et si l’expérience britannique préfigurait ce qui attend les autres pays ? En France, Espagne, Italie ou Allemagne, les velléités de référendum existent aussi, mais les verrous politiques y sont plus forts.

Royaume-Uni : des concessions ferroviaires à réformer

Alors que les négociations sur le quatrième paquet se poursuivent à Bruxelles, Contexte propose un dossier spécial sur la libéralisation du secteur de passagers. Retour sur le cas du Royaume-Uni.

Sur le budget européen, Cameron fait son Calimero

L’UE réclame deux milliards supplémentaires au Royaume-Uni pour boucler le budget 2014. Le Premier ministre britannique, qui affirme avoir appris la nouvelle en arrivant à Bruxelles le premier jour du sommet, jeudi 23 octobre, refuse de payer.

Démocratie parlementaire 1, Cameron 0

Comme les députés européens le demandaient, Jean-Claude Juncker a été désigné par les États pour devenir le prochain président de l’exécutif, malgré le refus du Royaume-Uni et de la Hongrie.

Contexte, l’info politique dont les professionnels ont besoin.

Essayez Contexte gratuitement

Essayez Contexte pour suivre les politiques publiques en France et en Europe

Recevez tous les matins dans votre boîte e-mail une sélection d’informations et d’analyses de notre rédaction

Accédez à des scoops et des ressources pour décrypter les enjeux et les rapports de force politiques

Suivez la fabrication des textes de loi en temps réel tout au long de la navette parlementaire