Le chef de l’État a "usé jusqu’à la corde les arguments de peur allant jusqu’à évoquer le risque de rééditer le scenario catastrophe des années trente (...) et prédit donc : ce sera l’austérité ou la guerre", a déploré le Parti socialiste dans un communiqué.
"Il cède aux injonctions de Berlin en faveur d’un nouveau traité européen et de l’adoption de la règle d’or budgétaire avant les élections présidentielles sur le modèle de la constitution allemande", précise le Parti.
La…