La Norvège n’est pas dans l’UE mais les attentats dont elle a fait l’objet trouvent une résonance à Bruxelles. La surveillance des mouvances et des individus menaçant la sécurité publique nationale incombe bien sûr aux États membres, mais l’Europe peut intervenir en tant que coordinatrice des missions de contrôle.
A cette fin, Bruxelles souhaiterait créer un réseau d’échange d’information, afin de “surveiller la croissance de la radicalisation des discours sur Internet”, rappelle Michele Cercone, porte-parole de la Commission. Avant de…