On croyait le sujet mis en veilleuse depuis l’élection française de 2012, qui a sifflé la fin de la partie sur l’espace Schengen.
Encensée ou décriée au gré des agendas politiques, la libre circulation des personnes refait surface dans le débat européen, à la faveur d’une lettre cosignée par quatre ministres de l’Intérieur (Hans-Peter Friedrich, Johanna Mikl-Leitner, Fred Teeven, Theresay May), transmise la semaine dernière à la présidence irlandaise ainsi qu’à trois commissaires européens.
Formules choc
Cette fois, il est…