« Il y a des années de cela, j’épluchais des pommes de terre et je parlais à peine anglais », commence Fadi Chehade, directeur de l’ICANN, « et j’ai vécu le rêve américain, cette ouverture à l’initiative individuelle. Celle-là même que nous voulons préserver pour l’Internet. »
Aux côtés de ce passionné qui s’exprime sans un regard pour ses notes, mercredi 25 février au Sénat américain, se trouvent Larry Strickling, directeur de l’administration nationale des télécommunications et de l’information (…