Deux ans. C’est le temps que la communauté internationale s’est donné, en 2022, pour ajouter une nouvelle pierre à l’édifice de la diplomatie environnementale. Élaborer un traité, ou « instrument juridiquement contraignant » en jargon onusien, pour mettre fin à la pollution plastique. Ces deux années, rythmées par cinq sessions de négociation, de l’Uruguay au Canada, en passant par Paris et Nairobi, arrivent à leur terme. Busan, station balnéaire sud-coréenne, doit être le terminus de cette épopée.
Les derniers pas…