« Je ne suis pas Frans Timmermans. Je suis Teresa Ribera et je vais faire de mon mieux. » Durant son grand oral devant les eurodéputés, le 12 novembre au soir, la socialiste, candidate à la vice-présidence de la Commission européenne à la Transition propre, juste et compétitive, aura bien tenté de rassurer le camp conservateur, toujours marqué par l’ancien maître d’œuvre du Green Deal. Sans vraiment y parvenir, aussi parce que beaucoup d’eurodéputés de droite ont moins interrogé ses…
L’audition de Teresa Ribera vire au règlement de comptes
13 novembre 2024 à 8h00