« La criminalité environnementale n’est pas un problème qui s’arrête aux frontières nationales », constatait en décembre 2020 la Commission européenne, dans le sillage du Green Deal. Elle actait alors la faiblesse d’un texte qui n’a pas permis, depuis son adoption en 2008, d’harmoniser les poursuites et sanctions pénales, relevant au passage que la criminalité environnementale se révèle souvent transfrontalière.
Dans son viseur se trouvent en particulier les réseaux du crime organisé, qui profitent de cette faille béante pour s’adonner…