Comment combler le retard sur les objectifs de rénovation et les changements de chaudière, qui « s’est accentué en 2024 », par rapport aux objectifs du plan ? C’est la question, cruciale quand on sait que le secteur du bâtiment représente environ 45 % de la consommation finale d’énergie française, à laquelle le Secrétariat général à la planification écologique essaye de répondre dans un document interne, que Contexte s’est procuré, plus sévère que les constats déjà partagés publiquement.
Fin décembre…