Le ton reste sobre, mais l’heure est grave.
« Un certain nombre de signaux […] indiquent une détérioration probable des perspectives d’approvisionnement en gaz », écrit la Commission européenne.
Le sentiment d’urgence est là. La mobilisation générale est amorcée. L’heure n’est plus aux stratégies à long terme pour assurer l’indépendance énergétique de l’Union à horizon 2030. Le risque de rupture d’approvisionnement en gaz russe est imminent.
Le 21 juillet, la fin des travaux de maintenance sur le gazoduc Nord Stream…