La France mise, elle aussi, sur le développement des énergies renouvelables. Alors que la part du nucléaire dans la production électrique nationale devrait baisser à 50% d'ici 2025, les énergies renouvelables, souvent intermittentes, doivent monter en puissance.
D'ici 2030, toutefois, les besoins de flexibilité du réseau électrique français ne vont guère augmenter, estiment les auteurs d'une étude sur le potentiel de stockage d'énergies, financée par l'ADEME, la DGCIS et l'ATE, rendue publique mardi 5 novembre.
Malgré l'intégration des énergies renouvelables…