Neuf salariés permanents pour gérer une filière dont la production couvre la moitié de la surface arable française : au regard des enjeux, l’interprofession des céréales, Intercéréales, paraît plutôt sous-dimensionnée. Surtout lorsqu’on la compare à son homologue du lait, le Cniel (Centre national interprofessionnel de l’économie laitière), qui compte plus d’une centaine de salariés.
Un secteur qui a longtemps vécu sans interprofession
Parmi les principales différences avec ce dernier : l’interprofession est courte. Elle s’arrête à la première transformation, compte…